J’ai rencontré les extra-terrestres



En ce week-end de Pâques durant lequel tous les enfants s’affairent à trouver les cloches sensées voler dans le ciel et déposer une multitude de friandises dans les parcs et jardins, j’ai pour ma part fait la rencontre d’un extra-terrestre

Cet extraterrestre a pris l’enveloppe corporel d’un enfant terrien.




Vous aussi allez à la rencontre de cet étrange enfant nommé Alton en allant au cinéma découvrir Midnight Special, le quatrième long métrage de Jeff Nichols.

Le père D’Alton essaye de protéger son fils de tous ceux qui s’y intéressent car ce petit garçon possède des super-pouvoirs ;  peut-être la possibilité de communiquer avec des aliens et tant d’aventures extraordinaires.


Le jeune garçon prend une dimension surnaturelle quand la lumière intense comme des rayons-laser lui sort des yeux quand il ne porte pas ses lunettes. A chaque utilisation de son super pouvoir l’enfant faibli de plus en plus (un peu comme ET l’extraterrestre se meure progressivement en restant sur Terre). Et voilà donc le père et le fils en cavale, escorté d'un ami d'enfance.  Qu'y a-t-il au bout de la route, dans la forêt près de Tallahassee en Floride ?...

Nous retrouvons dans cette rencontre un subtile (et probablement innocent ?) mélange de références et clichés faisant échos à des scènes célèbres des films tels que « Contact », « IA Intelligence Artificielle », « ET l’extraterrestre », « 6ème Sens » et « Un monde parfait »



Ce nouveau film de science-fiction parle essentiellement de la famille et quand même un peu de la présence extraterrestre. La première scène du film est à l'image du ressenti jusqu'à la fin: l'interrogation. 
En effet, en attendant des réponses, vous ne sortirez de la séance qu’avec des questions.


A l’heure où les dossiers secrets de la Cia, du Fbi et de la Nsa, relatifs à l’existence d’une intelligence extraterrestre, deviennent de plus en plus poreux il est bon de s’interroger personnellement sur ces éventuels mondes parallèles aux confins de notre système solaire,  que même la science n’exclue plus.

Interplanétairement vôtre,
La Boutique Spatiale
« Pour faire du ciel le plus grand terrain de divertissement »


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